sont nombreuses, sont invalidantes, voire mortelles, et coûtent très cher à la Société. Parce que nous avons des traitements efficaces et variés, adaptés à toutes les situations rencontrées en pratique clinique. Effort de sensibilisation nécessaire car le nombre des fractures ne diminue pas en France et – par contre – la prise en charge diminue…
fractures ostéoporotiques… 40.000 à 65.000 FV/an en France 1/3 des FV sont symptomatiques Environ 20% des patients ont une nouvelle FV dans l’année qui suit la 1ère 1 chance sur 6 pour une femme de 50 ans d’avoir une FV avant la fin de sa vie.
de faible énergie sont associées à une augmentation de la mortalité dans les 5-10 ans, chez les hommes comme chez les femmes Bliuc et al., JAMA 2009, 301(5): 513-521
de faible énergie sont associées à une augmentation de la mortalité dans les 5-10 ans, chez les hommes comme chez les femmes Les récidives de fractures sont associées à une surmortalité persistante (jusqu’à 5 ans). Bliuc et al., JAMA 2009, 301(5): 513-521
30 Poignet Humérus / jambe Hanche Vertèbre Pourcentage de patientes avec une fracture (%) Total 26,1% Lindsay et al, J Bone Miner Res 2001, 16(1):S215 Analyse combinée des études Vert MN, Vert NA et HIP de 381 patientes ménopausées avec ostéoporose avérée sous placebo + calcium Vit D suivies pendant 1 an. Le risque de nouvelle fracture augmente dès l’année qui suit une fracture vertébrale Parmi les femmes qui ont eu une fracture vertébrale, 1 sur 4 aura une nouvelle fracture ostéoporotique dans l’année
Étude de la cohorte de Maastricht : 4140 femmes ménopausées de 50 à 90 ans avec fracture confirmée par Rx Risque de nouvelle fracture évalué prospectivement sur une période prolongée : près d’1/4 fracture incidente survient dans l’année et plus d’1/2 dans les 5 ans Pic de risque relatif à 1 an, puis diminution progressive, mais risque reste élevé 15 ans.
40 60 80 100 120 140 160 180 Rachialgie sévère Pas de fracture Fracture clinique Fracture RX 0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 Repos au lit Pas de fracture Fracture clinique Fracture RX Durée de la période douloureuse et de l’alitement (3 ans). Nevitt et al, Arch Intern Med 2000.
Suivi prospectif de 6 mois de 428 patientes ostéoporotiques de 65 à 85 ans consultant en rhumatologie pour rachialgie Roux et al, SFR 2004 Données préliminaires sur 195 patientes (âge moyen 74 ans) : 50,3% TV+ douleurs rachidiennes plus intenses coût de prise en charge près de 3 fois supérieur plus de recours aux hospitalisations
Fracture présente Signalée dans la conclusion du CR radiologique Ostéoporose mentionnée dans le CR médical Ostéoporose traitée 0 20 40 60 80 100 120 140 Signalée dans le CR radiologique 52% 23% 17% 7%
« ACTOS » : identification des FV par des rhumatologues sur des radiographies de rachis 824 femmes de 60-80 ans 294 centres rhumato : lecture des clichés Relecture centralisée des radiographies et comparaison de l’identification des FV 25,8% de faux négatifs = non diagnostic de réelles FV. Fechtenbaum et al, Osteoporosis Int, dec 2005
Objectif majeur = soulager la douleur et rétablir rapidement la fonction de soutien du rachis. Moyens : repos au lit le plus court possible antalgiques de niveau 2 (± morphiniques) [la calcitonine n’a plus d’AMM] perfusion de bisphosphonates ? corset de soutien kinésithérapie douce et progressive prévention des complications de décubitus discussion d’une vertébroplastie
de l’ostéoporose et augmentent le risque de nouvelles fractures. Actuellement, les fractures vertébrales discrètes ou modérées ne sont pas toujours reconnues ni mentionnées, ce qui conduit à un défaut de diagnostic et de traitement de la maladie.
de l’ostéoporose et augmentent le risque de nouvelles fractures. Actuellement, les fractures vertébrales discrètes ou modérées ne sont pas toujours reconnues ni mentionnées, ce qui conduit à un défaut de diagnostic et de traitement de la maladie. Les fractures vertébrales induisent une morbidité et une sur mortalité, ainsi que des coûts importants.
de l’ostéoporose et augmentent le risque de nouvelles fractures. Actuellement, les fractures vertébrales discrètes ou modérées ne sont pas toujours reconnues ni mentionnées, ce qui conduit à un défaut de diagnostic et de traitement de la maladie. Les fractures vertébrales induisent une morbidité et une sur mortalité, ainsi que des coûts importants. Le traitement des fractures vertébrales est encore empirique et mal codifié.
de l’ostéoporose et augmentent le risque de nouvelles fractures. Actuellement, les fractures vertébrales discrètes ou modérées ne sont pas toujours reconnues ni mentionnées, ce qui conduit à un défaut de diagnostic et de traitement de la maladie. Les fractures vertébrales induisent une morbidité et une sur mortalité, ainsi que des coûts importants. Le traitement des fractures vertébrales est encore empirique et mal codifié. Les traitements de l’ostéoporose peuvent réduire de 35 à 70% l’incidence des fractures vertébrales.