NETCONF Marion Maisonobe, CNRS, Laboratoire Géographie-cités En coordination avec Bastien Bernela (Université de Poitiers) & François Briatte (Université Catholique de Lille) Journée d’étude du GIS Réseau URFIST, 16 juin 2022 Site web du projet NETCONF : netconf-geoscimo.univ-tlse2.fr
l’effet des congrès sur la dynamique des réseaux scientifiques Estimer « l’effet congrès » sur la densification des réseaux scientifiques dans deux communautés : la chimie verte et la science politique Utiliser les congrès pour étudier l’internationalisation et la visibilité des communautés nationales de chimie verte et science politique Mettre au point une méthodologie ouverte et reproductible pour étudier les réseaux de conférenciers, la dynamique des congrès, leur rayonnement géographique et son évolution
étudier l'évolution de leur distribution spatiale (villes et pays d’appartenance) - FAIT • Reconstituer les réseaux à partir des liens de co-participation aux panels et de co-présentation - FAIT • Collecter les publications des congressistes via des bases de données bibliographiques et archives ouvertes (Dimensions, Lens, HAL, Cairn, Persée…) – EN COURS – encadrement d’un stage sur ce sujet en 2021 • Reconstituer et analyser les réseaux de co-écriture et de citations entre participant.es – EN COURS
des évènements professionnels (congrès, salons…) : « Congrès scientifiques et réseaux savants », le 8 décembre 2021, à la MSH Paris Nord. Présentations et compte rendu en ligne. 2. Communication et diffusion des résultats dans les communautés de l’analyse de réseaux et des STS Présentations à la SUNBELT 2020 ; au séminaire du LISIS ; à la journée d’étude du projet NETCONF et à la 2022 RISIS week (supports en ligne) 3. Création d'un module de formation URFIST autour de l'exploitation des données de conférence – À FAIRE 4. Formulation de préconisations à l’intention des EPST, des universités et des sociétés savantes sur la manière d'internationaliser le personnel scientifique
observée 2013–2019 (1 an sur 2) 2009–2019 (1 an sur 2) Participants 425–741 687–920 % étrangers 49–60 17–27 % éphémères 84 70 Pays représentés 53 60 Source : programmes des conférences, après traitements
à 22 %, +2 pts entre 2015 et 2019) Part des panels à 3 pays et + (de 75 à 87 %) Stabilité du nombre de pays participants (42 en 2015, 38 en 2017, 40 en 2019)
structure des réseaux scientifiques (densité, centralité etc.) & utiliser le congrès comme point d’entrée pour appréhender une communauté savante, sa dynamique et son internationalisation
une analyse poussée tenant compte du rôle que la conférence a pu jouer dans l’évolution de la carrière d’une personne • Défis liés à la généralisation de cette approche à toute la population des congressistes : - Mettre au point une méthode automatisée de récupération des données de publication, de gestion des homonymes et doublons - Standardiser l’analyse pour permettre la comparaison, pour élaborer des « profils de participation », pour lier le niveau individuel aux niveaux agrégés des lieux et des thématiques
N/A (3) EPSA 2019–2021 (2) 300–1300 (1) Les conférences ont toutes lieu une fois par an (2) Certaines éditions 2020–2021 ont eu lieu à distance (3) Variable selon le type : GC ~ 1500–2800, JS ~ 100–700 Données supplémentaires pour la science politique
ecprconf • Présentations en ligne sur le site internet du projet https://netconf-geoscimo.univ-tlse2.fr/ • À venir : Intégration des données ISGC et AFSP 2022 – colloques hybrides • Mise en place d’une formation URFIST Reproductibilité